Desmilliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay Fête des Mères Poème publié et mis à jour le: 30 Jele dis avec mes bras. Maman-printemps Voilà des baisers blancs, Des baisers bleus Des baisers de toutes les couleurs Des baisers-pois-de-senteur Légers, légers, légers Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des baisers pâquerettes Tout ébouriffés Et des baisers-soleil Avec des cœurs GRANDS comme ça Maman-printemps Desmilliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers Et . Les Oiseaux de passage est un poème de Jean Richepin paru dans le recueil La Chanson des gueux en Desmilliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d’étoiles dans le ciel pour maman André Bay Des milliers d'étoiles dans le ciel Devine ce qui est caché Elle est brillante comme le soleil En mai fait ce qu'il te plaît J'ai cueilli la fleur des champs J'ai des mains pour te toucher J’ai cueilli trois fleurs des champs pour maman J'aime Période: 20e siècle Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay E-mail Poésies les plus vues C'est la rentrée Nosclairons ont chanté la trêve, car le nuage de la nuit s'est abaissé, Et les étoiles sentinelles montaient la garde dans le ciel; Et des milliers de personnes avaient sombré sur le sol, vaincues, Les fatigués pour dormir, et les blessés pour mourir. Bv6DkGZ. Un joli poème que mes petits élèves de maternelle aimaient réciter à leurs mamans le jour de la fête des mères ... Une Maman Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une mamanSur la terre ! André Bay Pour ma maman chérie et pour toutes les mamans d'ici et d'ailleurs... Bonne journée à tous ! Ballet D’étoilesNuit céleste où des milliersD’étoiles resplendissentDans un ballet elles s’envolentEt dansent ensemble une le ciel bleu marineLa planète s’endort j’imagineDans cette féerie je décollePour arriver dans les cieuxÉblouie par ce ciel lumineuxJe frissonne devant ce spectacleFéerique et si particulierCelui-ci comme un conduit dans cet espace sidéralJe vais, je viens, je m’installePour la rencontre avec mon angeQui éponge toutes mes efface, tous mes dramesA son coté mon cœur s’enflammeMon souhait rester près de luiVivre enfin ce bonheur sans soucisAvec lui voyager sera un vrai De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Ballet D’étoilesnuit=cé=les=te=où=des=mil=liers 8dé=toi=les=res=plen=dissent 6dans=un=bal=let=el=les=sen=volent 8et=dansent=en=sem=bleune=fa=ran=dole 8dans=le=ciel=bleu=ma=ri=ne 7la=pla=nète=sen=dort=ji=ma=gine 8dans=cet=te=fée=rie=je=dé=colle 8pour=ar=ri=ver=dans=les=cieux 7éblouie=par=ce=ciel=lu=mi=neux 7je=fris=sonne=de=vant=ce=s=pec=tacle 9fée=ri=queet=si=par=ti=cu=lier 8ce=lui=ci=com=me=un=mi=racle 8me=con=duit=dans=cet=es=pace=si=dé=ral 10je=vais=je=viens=je=mins=ta=lle 8pour=la=ren=contre=a=vec=mon=ange 8qui=é=pon=ge=tou=tes=mes=larmes 8il=ef=fa=ce=tous=mes=dra=mes 8a=son=co=té=mon=cœur=sen=flamme 8mon=sou=hait=res=ter=près=de=lui 8vivreen=fin=ce=bon=heur=sans=sou=cis 8a=vec=lui=vo=ya=ger=se=ra=un=vrai=pro=gramme 12Phonétique Ballet D’étoilesnɥi selεstə u dε miljedetwalə ʁεsplɑ̃disedɑ̃z- œ̃ balε εllə sɑ̃vɔlee dɑ̃se ɑ̃sɑ̃blə ynə lə sjεl blø maʁinəla planεtə sɑ̃dɔʁ ʒimaʒinədɑ̃ sεtə feəʁi ʒə dekɔləpuʁ aʁive dɑ̃ lε sjøeblui paʁ sə sjεl lyminøʒə fʁisɔnə dəvɑ̃ sə spεktakləfeəʁikə e si paʁtikyljesəlɥi si kɔmə œ̃ kɔ̃dɥi dɑ̃ sεt εspasə sideʁalʒə vε, ʒə vjɛ̃, ʒə mɛ̃staləpuʁ la ʁɑ̃kɔ̃tʁə avεk mɔ̃n- ɑ̃ʒəki epɔ̃ʒə tutə mε efasə, tus mε dʁaməa sɔ̃ kɔte mɔ̃ kœʁ sɑ̃flaməmɔ̃ suε ʁεste pʁε də lɥivivʁə ɑ̃fɛ̃ sə bɔnœʁ sɑ̃ susiavεk lɥi vwajaʒe səʁa œ̃ vʁε Phonétique Ballet D’étoilesnɥi=se=lεs=tə=u=dε=mi=lj=e 9de=twa=lə=ʁεs=plɑ̃=di=se 7dɑ̃=zœ̃=ba=lε=εl=lə=sɑ̃=vɔ=le 9e=dɑ̃=se=ɑ̃=sɑ̃blə=y=nə=fa=ʁɑ̃=dɔlə 10dɑ̃=lə=sjεl=blø=ma=ʁi=nə 7la=pla=nε=tə=sɑ̃=dɔʁ=ʒi=ma=ʒi=nə 10dɑ̃=sε=tə=fe=ə=ʁi=ʒə=de=kɔ=lə 10puʁ=a=ʁi=ve=dɑ̃=lε=sj=ø 8e=blu=i=pa=ʁsə=sjεl=ly=mi=nø 9ʒə=fʁi=sɔ=nə=də=vɑ̃=sə=spεk=ta=klə 10fe=ə=ʁi=kə=e=si=paʁ=ti=ky=lje 10səl=ɥi=si=kɔ=mə=œ̃=mi=ʁa=klə 9mə=kɔ̃d=ɥi=dɑ̃=sεt=εs=pasə=si=de=ʁal 10ʒə=vε=ʒə=vj=ɛ̃=ʒə=mɛ̃s=ta=lə 9puʁ=la=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=a=vεk=mɔ̃=nɑ̃=ʒə 10ki=e=pɔ̃=ʒə=tu=tə=mε=la=ʁmə 9il=e=fa=sə=tus=mε=dʁa=mə 8a=sɔ̃=kɔ=te=mɔ̃=kœ=ʁə=sɑ̃=fla=mə 10mɔ̃=su=ε=ʁεs=te=pʁε=də=lɥi 8vi=vʁə=ɑ̃=fɛ̃=sə=bɔ=nœʁ=sɑ̃=su=si 10a=vεk=lɥi=vwa=ja=ʒe=sə=ʁa=œ̃=vʁεpʁɔɡʁamə 10 Commentaire Sur La Poesie20/09/2021 1700PrintempsContempler une nuit étoilée en souhaitant être aux côtés de l’être aimé et voyager avec lui, c’est assurément très poétique ! Merci du partage, Blanche! Trouvez votre poème de Fête des mères et imprimez-le gratuitement Imprimer un poème de fête des mères est une jolie idée pleine de douceur et de tendresse pour célébrer les mamans. Le dernier dimanche de mai ou le premier de juin, l’occasion est trop belle pour couvrir les mamans de délicates attentions et les surprendre avec un petit cadeau fabriqué maison, un bouquet de fleurs et une jolie carte pleine de mots doux. C'est à ce moment que vous allez choisir un joli texte comme un petit poème à recopier sur votre carte. Le poème peut être récité ou juste imprimé grâce à nos jolies fiches illustrées. Il y en a plein avec des cœurs ou des fleurs. Dans tous les cas, c’est toujours une jolie façon de dire je t’aime, de montrer à quel point on aime sa maman et lui souhaiter une bonne fête des mères. Dans ce dossier, vous allez retrouver tous nos poèmes dédiés aux mamans. Des textes particulièrement adaptés pour la fête des mères. L’occasion de lui dire que c’est la plus belle, la plus gentille, la plus forte, la remercier, lui demander pardon ou tout simplement lui dire je t'aime. Nos textes plairont à toutes les mamans ! Si aucune poésie ne vous plaît ou que vous cherchez un texte court, sachez que vous pourrez aussi choisir parmi nos autres idées de textes ou notre sélection de citations. Vous pouvez aussi proposer aux enfants de composer leurs propres poèmes. Quoi que vous choisissez, n’oubliez pas d’accompagner votre beau message d'amour mignon de bisous et de câlins et de lui souhaiter Bonne fête maman chérie ». Joyeuse Fête des mères à tous ! Et si vous avez aimé nos poésies pour maman, n'oubliez pas de revenir pour la Fête des Pères et imprimez votre poème pour papa gratuitement. Retrouvez encore plus d'idées de Poème pour maman AU SOMMAIRE de cette sélection de poèmes pour la Fête des mères Des poèmes de Fête des mères classiques Des textes originaux Des textes courts et des citations poétiques Des paroles de comptines enfantines Trouvez un Poème de Fête des mères célèbre Edgar Allan Poe, Maurice Carême ou Victor Hugo les plus grands poètes ont écrit de beaux textes pour leurs mamans. Voici une sélection ! Pensez à cliquer sur le lien présent en dessous du texte pour accdéder à la fiche illustrée et l'imprimer facilement et gratuitement en un clic. ❤️ A notre mère - Victor Hugo "Oh! l'amour d'une mère! amour que nul n'oublie! Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie! Table toujours servie au paternel foyer ! Chacun en sa part, et tous l’ont tout entier !" FICHE A IMPRIMER A notre mère de Victor Hugo ❤️ Une maman - André Bay Voici les vers du poème "Une maman" Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. FICHE A IMPRIMER "Une maman" de A. Bay ❤️ POUR MA Mère - Maurice Carême Il y a plus de fleurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans tous les vergers ; Plus de merles rieurs Pour ma mère, en mon coeur, Que dans le monde entier ; Et bien plus de baisers Pour ma mère, en mon coeur, Qu'on en pourrait donner. © Fondation Maurice Carême FICHE A IMPRIMER Pour ma mère de Maurice Carême ❤️ maman - Edgar allan poe J’entends au-dessus de moi dans les cieux Les anges qui murmurent entre eux Ils ne peuvent trouver de mot d’amour plus grand Que celui-ci "Maman" FICHE A IMPRIMER Maman - Edgar Allan Poe ❤️ A ma maman - Le poème de Jean michel Robineau Bien sûr, maman, je veux t'offrir Oh, tout ce qui peut te faire plaisir. Naturellement, pas des trésors, Non, mais de gros efforts. Et, cette fois-ci, promis, je vais Faire mon lit, ranger, m'appliquer; Eteindre la télévision, Apprendre par cœur mes leçons, Etre un modèle d'obéissance... Mais tout à coup, maman, j'y pense Avec un enfant si parfait, Maman, c'est sûr, tu t'ennuierais. FICHE A IMPRIMER "A ma maman" de Jean Michel Robineau choisir un poème de fête des mères original Cette seconde sélection est l'occasion de vous proposer des poèmes moins connus par des auteurs moins célèbres mais talentueux. Nous avons beaucoup aimé ces petits textes que nous vous proposons pour des textes originaux et touchants. ❤️ Fête des mères - Michel Beau Je voulais, Maman gentille, T'offrir de belles jonquilles En un bouquet engageant. J'ai regardé les boutiques Mais les prix sont fantastiques Et ma bourse a peu d'argent! Alors, au fond de ma tête, J'ai composé pour ta fête Un tout petit compliment, Et je t'offre ce poème Pour te dire que je t'aime, Je t'aime bien fort, Maman. FICHE A IMPRIMER Fête des mères - Michel Beau ❤️ Une petite fleur pour maman Une petite fleur Pour maman ! Des villes ? Des champs ? Je ne sais pas Mais elle lui plaira Car elle porte bonheur Chut ! C'est son secret ! Chut ! Elle dit Je t'aime ! FICHE A IMPRIMER Une petite fleur pour maman ❤️ CHèRE MAMAN - charlotte Nguyen-Thanh Pour vous rendre un sincère hommage, Je n’ai point recours aux fleurs, Ce serait un trop faible gage, Pour votre précieuse faveur, Pour bouquer j’offre mon âme, Qui vous promet de vous aimer ! FICHE A IMPRIMER "Chère maman" de Charlotte Nguyen-thanh ❤️ Mère, je vous aime tant - charlotte Nguyen-thanh Mère, je vous aime tant Que les mots s’enfuient devant tant d’amour ! Mère, je vous aime tant Et plus encore que je ne peux le penser ! Mère, je vous aime tant Que j’en reste sans voix ! Mais Mère, vous m’aimez tant Que vous n’avez nul besoin de mot Pour connaître l’étendue de mon amour ! FICHE A IMPRIMER Mère je vous aime tant ❤️ Maman je t'aime - Thi Anh Quand j’ai peur, Je prends ta main, Et sur mon cœur, Entre la lumière ! Quand j’ai mal, Tu prends mes larmes, Et dans mon âme Je n’ai plus mal ! Maman, je t’aime ! Tout simplement. FICHE A IMRPRIMER Maman je t'aime de Thi Anh ❤️ Bonne Fête maman - Thi ành Je t’offre des fleurs Car tu répares mon cœur Je t’offre des fleurs Car tu effaces mes peurs Je t’offre des fleurs Car tu es dans mon cœur ! Bonne fête maman FICHE A IMPRIMER Bonne Fête maman - Thi ành ❤️ Maman je te donne - Thi ành Je te donne ce poème Car sans limite tu m’aimes Je te donne ces fleurs Car je suis dans ton cœur Je te donne ces bonbons Car en toi tout est bon Je te donne un baiser, tout simplement Car tu es celle que j’aime ma maman FICHE A IMPRIMER Maman je te donne - Thi ành ❤️ à toi ma mère - Thi ành A toi ma mère qui connaît toutes les recettes Celles qui nourrissent Celles qui font grandir bien sûr, Mais aussi celles qui sèchent les larmes Celles qui réparent les cœurs cassés Et celles qui font que demain Tout sera possible ! FICHE A IMPRIMER A toi ma mère - Thi ành ❤️ jE T'AIME oH MA MAMAN - THI ÀNH Je t’aime tant, oh ma maman Que j’aimerai avoir des ailes Pour comme les hirondelles, Voler à tire d’aile Et t’apporter mille baisers FICHE À IMPRIMER Je t'aime tant oh ma maman ❤️ Promesse à maman - Thi Anh Ma chère maman, Tu le sais, je suis un enfant distrait, Je promets de t’écouter, mais je n’en fais rien qu’à ma tête ! Je promets d’être sage, mais si tôt promis c’est oublié ! Je promets de travailler, mais tant de choses viennent me distraire ! Je promets d’être bien élevé, mais manger avec les doigts c’est tellement bon ! Je te fais mille promesses mais je n’en tiens aucune. Aucune ? Non, je n’en tiens qu’une seule Celle de t’aimer FICHE A IMPRIMER Promesse à maman de Thi Anh ❤️ Poésie pour maman - C. Duparc J'ai cueilli trois fleurs des champs Mais la plus jolie que j'aime tant Mais la plus jolie, c'est pour Maman. J'ai trouvé trois cailloux blancs Mais le plus joli que j'aime tant Mais le plus joli, c'est pour Maman. J'ai aussi trois beaux rubans Mais le plus joli que j'aime tant Mais le plus joli, c'est pour Maman. Je n'ai qu'un petit cœur d'enfant, Mais mon petit cœur qui l'aime tant Mais mon petit cœur, C'est pour maman. FICHE A IMPRIMER Poésie pour maman de C. Duparc un poème très court comme un compliment ou une citation Les textes courts sont des petits poèmes sous forme de "compliments" ou des citations. Ici, vous allez retrouver des messages mignons mais simples. Si cette forme vous plaît, allez donc faire un tour du côté de nos citations pour maman. Vous retrouverez encore plus de choix. ❤️ Deux papillons pour maman Deux papillons se promenaient au printemps pour apporter des bisous à maman FICHE À IMPRIMER Deux papillons pour maman ❤️ compliment pour ma mère - Abraham lincoln Tout ce que je suis ou aspire à devenir, C'est à mon ange de mère que je le dois. FICHE A IMPRIMER Compliment pour ma mère - Abraham Lincoln COMPTINES et textes de chansons d'enfants Dernière idée de messages poétiques à envoyer aux mamans les paroles de chansons ou petites comptines à recopier sur la carte. L'occasion de fredonner le jour de la Fête des mères avec maman quelques paroles bien choisies et écrites avec amour. Les comptines sont adaptées aux enfants de maternelle. ❤️ Comptine à Gestes "Ma main est une fleur" Ma main est une fleur Mes doigts sont des pétales Je t'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout Pas du tout ! Vilaine petite fleur! Je sais bien que maman m'aime de tout son coeur ! Bonne fête Maman ! FICHE A IMPRIMER Comptine à geste de la fête des mères ❤️ C'est toi ma maman la comptine C’est toi ma maman adorée ! C’est toi qui me fais rêver ! C’est toi qui fais mon bonheur, Je t’aime de tout mon cœur. Qui m'a appris les additions ? Maman + moi = plein de bisous Qui m'a appris les multiplications ? Maman x moi = plus de bisous C’est toi ma maman adorée ! C’est toi qui me fais rêver ! C’est toi qui fais mon bonheur, Je t’aime de tout mon cœur. ... TEXTE COMPLET et vidéo C'est toi ma maman Poèmes pour la fête des mères Maman, quand tu es en colère, Maman, quand tu t’en vas, Maman, quand tu es de bonne humeur, Je t’aime de tout mon cœur Maman, quand tu me cajoles, Maman, quand je te dis ce poème, Comprends tu combien je t’aime ? Marie Aubinais dans les belles histoires de Pomme d'Api Pour imprimer ce poème en 2 exemplaires, cliquez ici Que dans tous les vergers Qu’on en pourrait donner. Maurice Carême Pour imprimer ce poème, cliquez sur l'image Si j'étais… Si j'étais une fleur Je t'offrirais le bonheur de mon cœur Si j'étais une oiseau Je t'emmènerais au dessus de l'eau Si j'étais un bateau Je te ferais voguer sur l'eau Si j'étais un parfum Je t'embaumerais tous les matins Si j'étais un perroquet Je te ferais un bouquet avec mes plumes colorées Mais je ne suis qu'un enfant Et je t'ai fait un poème Pour te dire que je t'aime Pour ma maman que j’aime J’ai mis dans un poème Un a », un i », un m » Un e » pour dire je t’aime » Un a » au chocolat Un i » à la chantilly Un m » avec de la crème Un e » très amoureux Et j’ai fait un gâteau Que nous mangerons bientôt En récitant ce poème Pour ma maman que j’aime Anny et Jean-Marc Versini Pour imprimer ce poème en 3 exemplaire format PDF, cliquez ici Bonne fête maman Petit oiseau, à la volette viens te percher dessus mon doigt, que je te dise, à la volette, un grand secret rien que pour toi "la plus jolie fée de la terre c'est ma maman, ma maman à moi." pour imprimer ce poème, cliquez ici Maman, Colère, privé de dessert, Transgression, punition, éducation, Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs dans les jardins, Des milliers d'abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur la plage, Des milliers de poissons dans la mer Et seulement seulement Une maman. Pour imprimer ce poème, cliquez ici. Maman, tu me prends par la main Tu m’apportes ton soutien Et consoles mes chagrins, Aujourd’hui je voulais te dire Parce que cela me fait plaisir Maman Unique et chérie, Tu m’as donné la vie J’ai préparé ce cadeau Que je t’offre aujourd’hui Pour te dire mon amour Tu me donnes de la tendresse Grâce à toutes tes caresses Aussi gentille que je puisse l’espérer Aujourd’hui comme tous les jours tu es la mère rêvée Ne sachant que faire pour te remercier, j’ai écrit ce poème qui traduit ma pensée. Ma vie est un enchantement Quand je m'endors, quand je m'éveille, Ou quand je joue, à tout moment, Une fée douce me surveille, Et m'entoure de soins charmants. Cette merveille, C'est ma maman ! Pour imprimer en 6 exemplaires, cliquez ici L’abeille va au soleil Le soleil brille dans le ciel Maman est belle Il est quelle heure ? Maman voudrait des fleurs Je l’aime de tout mon cœur Maman fait du bateau Elle adore les cadeaux Elle part dans le vent Pour remonter le temps. Si tu étais un soleil, Je serais ton rayon. Si tu étais un oiseau, Je serais tes ailes. Si tu étais une fleur, Je serais tes pétales Si tu étais un cahier, Je serais tes feuilles. Si tu étais un crayon, Je serais ta gomme. En fait, je ne suis que mettre le nom de l'enfant Et je te souhaite une bonne fête maman. Maman, Je t'aime Et T'aimerai toujours Avec le même amour Irremplaçable Maman Eternelle Maman Clément, 8 ans de Marseille Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquez ici Tu sais me soutenir Tu m'aimes et je t'aime Simplement J’ai cherché dans les poèmes Comment te dire je t’aime. J’ai trouvé des mots savants Bien trop long pour mes cinq ans. Alors, j’ai cherché ailleurs Et j’ai trouvé dans mon cœur Les mots que tu m’as appris quand j’étais encore petit. Maman, je t’aime grand comme ça ! Je le dis avec mes bras. Pour imprimer en 6 exemplaires sur A4, cliquez ici Maman ma fée Faite de tendresse Et de caresses Maman bien-aimée. Aujourd’hui, c’est toi qui est là pour moi, Demain, je te soutiendrai Maman, je pense à toi, Car tu fais tout pour moi, C’est toi qui me soutiens Quand j’ai un vrai chagrin Tu m’aides à bien grandir Et à m’épanouir Je t’écris ce poème Pour te dire que je t'aime Je voulais, maman gentille, T’offrir de belles jonquilles En un bouquet engageant. J’ai regardé les boutiques mais les prix sont fantastiques et ma bourse a peu d’argent ! Alors, au fond de ma tête J’ai composé pour ta fête Un tout petit compliment Et je t’offre ce poème Pour te dire que je t’aime, Je t’aime bien fort, Maman Ouvre grand la fenêtre Ouvre grand La fenêtre Maman Ouvre grand Chut ! Écoute le vent Qui te porte un poème Des milliers de je t’aime Chut ! Écoute le vent Comme un jour de printemps. Il t'apporte un baiser Celui de ton enfant Bonne fête maman ! Pour imprimer en 2 exemplaires sur A4, cliquez ici Tout peut s'user Dans la vie Tout peut s’user Mes bas, mes souliers, Mon crayon et ma gomme à effacer. Mais moi, je connais une chose Qui ne peut jamais s’user. Maman Il y a longtemps Je n’étais pas grand Et je t’aimais déjà maman. Mais aujourd’hui, J’ai bien grandi Et je t’aime encore autant maman. Et demain quand Je serai géant Je t’aimerai encore toujours maman. Merci maman, merci Maman, maman ! Toute la nuit. Maman, maman ! Tous les jours. Maman, maman ! Toute l'année. Maman, maman ! Toute la vie. Et bien, je redis aujourd'hui Merci beaucoup, maman. Cacamelli Cliquez ici pour imprimer en 6 exemplaires Ma maman Quand j'étais petite, je ne savais pas manger, Ma maman m'a appris Et depuis, je dévore, je dévore sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas parler, Ma maman m'a appris Et depuis, je bavarde, je bavarde sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas marcher, Ma maman m'a appris Et depuis, je gambade, je gambade sans arrêt. Quand j'étais petite, je ne savais pas chanter, Ma maman m'a appris Et depuis, je chantonne, je chantonne, sans arrêt. Maman, je t'aime comme ça Maman câline Maman coquine Maman divine Je t'aime comme ça Maman dévouée Maman adorée Maman attentionnée Je t'aime comme ça Maman heureuse Maman lumineuse Maman merveilleuse Je t'aime comme ça Pour imprimer en 2 exemplaires, cliquer ici Bonne fête maman Quand je grimpe à l'échelle du bonheur Tout en haut, il y a une fleur Une fleur en forme de coeur A-t-on jamais vu ça ? Elle est en toi Maman Quand je suis tout au fond de tes bras. Anne Mangel Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Ma vie est un enchantement Quand je m'endors Quand je m'éveille Ou quand je joue à tout moment Une fée douce me surveille Et m'entoure de soins charmants Cette merveille C'est ma maman. Pour imprimer en 4 exemplaires, cliquez ici Maman si tu étais une couleur, Tu les serais toutes Si tu étais un poème Tu les serais tous Tu es tout pour moi La plus belle Pour aller grandir Denis Heudré Pour imprimer, cliquez ici Maman Tous les jours Tu inventes des bisous Alors à mon tour D'inventer des mots Pour te dire mon amour Denis Heudré Pour imprimer, cliquez ici Poème quand il y a 2 mamans Mes mamans mes mamans sont tellement aimantes épatantes amusantes que j'aime les faire rire les rendre fières et les embrasser Denis Heudré Pour imprimer, cliquer ici Il est pour la pensée une heure… une heure sainte, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De l’absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux. On voit à l’horizon sa lueur incertaine, Comme les bords flottants d’une robe qui traîne, Balayer lentement le firmament obscur, Où les astres ternis revivent dans l’azur. Alors ces globes d’or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers de l’ombre qui s’enfuit, Comme une poudre d’or sur les pas de la nuit ; Et le souffle du soir qui vole sur sa trace Les sème en tourbillons dans le brillant espace. L’œil ébloui les cherche et les perd à la fois Les uns semblent planer sur les cimes des bois, Tels qu’un céleste oiseau dont les rapides ailes Font jaillir, en s’ouvrant, des gerbes d’étincelles. D’autres en flots brillants s’étendent dans les airs, Comme un rocher blanchi de l’écume des mers ; Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière, Déroulent à longs plis leur flottante crinière ; Ceux-ci, sur l’horizon se penchant à demi, Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi ; Tandis qu’aux bords du ciel de légères étoiles Voguent dans cet azur comme de blanches voiles Qui, revenant au port d’un rivage lointain, Brillent sur l’Océan aux rayons du matin. De ces astres de feu, son plus sublime ouvrage, Dieu seul connaît le nombre, et la distance, et l’âge Les uns, déjà vieillis, pâlissent à nos yeux ; D’autres se sont perdus dans les routes des cieux ; D’autres, comme des fleurs que son souffle caresse, Lèvent un front riant de grâce et de jeunesse, Et, charmant l’orient de leurs fraîches clartés, Étonnent tout à coup l’œil qui les a comptés. Dans l’espace aussitôt ils s’élancent… et l’homme, Ainsi qu’un nouveau-né, les salue et les nomme. Quel mortel enivré de leur chaste regard, Laissant ses yeux errants les fixer au hasard, Et cherchant le plus pur parmi ce chœur suprême, Ne l’a pas consacré du nom de ce qu’il aime ? Moi-même… il en est un, solitaire, isolé, Qui dans mes longues nuits m’a souvent consolé, Et dont l’éclat, voilé des ombres du mystère, Me rappelle un regard qui brillait sur la terre. Peut-être… ah ! puisse-t-il au céleste séjour Porter au moins ce nom que lui donna l’amour ! Cependant la nuit marche, et sur l’abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours, Vers un port inconnu nous avançons toujours. Souvent pendant la nuit, au souffle du zéphyre, On sent la terre aussi flotter comme un navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d’azur où le globe se joue, On entend l’aquilon se briser sous la proue, Et du vent dans les mâts les tristes sifflements, Et de ses flancs battus les sourds gémissements ; Et l’homme, sur l’abîme où sa demeure flotte, Vogue avec volupté sur la foi du pilote ! Soleils, mondes errants qui voguez avec nous, Dites, s’il vous l’a dit, où donc allons-nous tous ? Quel est le port céleste où son souffle nous guide ? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide ? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l’immensité des débris du naufrage ? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis ? Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute ! Cet océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés ; Plus brillantes que nous, vous savez davantage ; Car de la vérité la lumière est l’image. Oui, si j’en crois l’éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Ou qui, glissant soudain sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées ; Si j’en crois ces rayons qui, plus doux que le jour, Inspirent la vertu, la prière, l’amour, Et, quand l’œil attendri s’entr’ouvre à leur lumière, Attirent une larme aux bords de la paupière ; Si j’en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers vous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu’on regrette, Et le vol enflammé de l’aigle et du poëte, Tentes du ciel, Édens, temples, brillants palais, Vous êtes un séjour d’innocence et de paix ! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence. Tout ce que nous cherchons, l’amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel, dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie ; Et l’homme un jour peut-être, à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu’il a perdu. Hélas ! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres, fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J’ai murmuré tout bas Que ne suis-je un de vous ! Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d’un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème ! Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j’aimais briller près de la terre ; J’aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, À dormir sur les prés, à flotter sur les eaux, À percer doucement le voile d’un nuage, Comme un regard d’amour que la pudeur ombrage. Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu’un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse ; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs, Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs ; Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l’infini lancée ; Mon rayon, pénétré d’une sainte amitié, Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d’amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre. Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine ; Je sécherais leurs pleurs, et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l’horizon lointain, Mon rayon, en quittant leur paupière attendrie, Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l’espoir ; et, lassés de gémir, Au moins avant l’aurore ils pourraient s’endormir ! Et vous, brillantes sœurs, étoiles mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux ; Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l’éther l’instinct qui vous entraîne ; Vous guideriez mon œil dans ce vaste désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd Vos rayons m’apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être ; Et, noyant dans mon sein ses tremblantes clartés, Je sentirais en lui… tout ce que vous sentez.

poème des milliers d étoiles dans le ciel