Unelarme sur ton épaule Ce n’est pas grand chose en soi Une larme, là , qui te frôle Est-ce trop si tu la vois Une larme sur mon visage Est-ce ainsi qu’il faut vieillir Une larme comme un orage Vient noyer mes souvenirs A t-on le droit de pleurer Je n’imaginais pas ça Le rire est bon à montrer Mais mes larmes ont pris le pas Une larme dans mon miroir Qui ne regarde que moi
Titre: Rien qu'une larme Paroles : Michel Jourdan Musique : Brand Moshe ----- C F Rien qu'une larme dans tes yeux G C C'est toujours ta seule réponse C F Quand je te dis qu'il vaudrait mieux G C Ne plus se revoir nous deux E Am J'étais certain cette fois E C Que tu me retiendrais E Am On se trompe quelques fois F G Une larme a tout changé Rien qu'une
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois
Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,792 likes · 5 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poèmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un max, ça prend 2
Nuitsombreesprits perdusles questions se posent, l’inquiétude est à son comble. Au sol une terre gelée malgré la saison. Au ciel des nuages perdus les uns da
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux
eOAqfLv. Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant… C’est à la fois une philosophie et une raison d’être. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivé mais c’est arrivé. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi… Ma vie ne se résume qu’à ça, qu’à ce son qui résonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé… Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me déprime… »La plume s’était arrêtée. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppé net, faisait place à la froideur de la nuit, à ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenêtre, les quelques bougies allumées s’étaient presque éteintes, et le crépitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un détail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cœur. Ses moindres coins et recoins, tout ça était devenu banal. Pucky avait trouvé le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, émettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre à des kilomètres de là . La Lune était écarlate, telle une peinture encore fraîche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gâcher…Ce tableau éphémère qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dévisage et puis qu’on jette, parce qu’il est démodé… C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dépassé. Alice poussa un long soupir. Elle était donc la seule à cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les élèves restaient éveillés jusqu’à tard le soir… Oui, elle ne comprenait plus rien, à croire qu’elle était faites pour tout tenir en échec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui était délicatement posé sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot…un seul. Hate » BAM ! Son cœur venait de décrocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchâtres. La jeune demoiselle, à l’apparence d’une poupée en porcelaine, rapprocha délicatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tête…Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroître. La jeune Alice serra les poings, s’empêchant de crier, mais la tentation était très forte, trop forte même… Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’année. Etait-ce si difficile ? Non, bien sûr que non ! Elle était habituée à ne rien dire, à garder tout ça en secret. Son cœur était fermé à doubles tours, oui, c’était connut…Alors pourquoi craqué là , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-même ne savait pas pourquoi…sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises à trembler d’avantage, mais ça ne l’empêcha pas de reprendre son parchemin à présent plein de tâches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage… Le fort d’un être, c’est de savoir souffrir…sans ça, il est voué à l’échec complet. Je ne suis sûrement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout…mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris éblouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en même temps. C’était de l’ironie… Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention à part le crépitement du feu. Plus rien, même pas ces voix qui va et venaient…même pas ce bruit étrange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on écoutait de plus près, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrêter ses larmes…elle se mit à empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en était assez ! D’un geste quasi-immédiat, elle balança la boule » à l’autre bout de la pièce…Son coeur battait la chamade, ses yeux étaient fermer, ne voulant pas voir la réalité en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongée sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisés, elle restaient là inerte, a réfléchir, ou plutôt a rêver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaître ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, décidément, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, était prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien évidement a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. Habillée d’un short et d’un débardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le côté. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. Décidément, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune étudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrés vers la salle de bain. Le dortoir plongé dans l’obscurité, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva à l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumière verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier élastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mèche retombant devant ses yeux, elle la cala derrière son oreille droite, puis se dirigeant a présent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour éviter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrêta à quelques marches de la fin de celui-ci. D’où elle était, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la préfète, elle sentait a trois kilomètres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne était toute seule, elle n’allait pas parler, à moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tête et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut être que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intéressa enfin à la personne qui était présente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors réprimer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitié, qui remontait a présent à de nombreuses années. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus près de la cheminée. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre à l’aide d’un sortilège basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a écrire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait là , le tempérament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drôle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusé sur les lèvres, la jeune femme connaissait déjà la réponse, elle écrivait ses pensées, comme toujours. Eternelle rêveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était généralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une dernière fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gèle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. Là encore, ces trois mots résumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empêcher de faire une petite escapade nocturne. Il y était accoutumé mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de préfet ? Boaf. Pas une raison pour respecter à la lettre le règlement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscurité, bougea. Elle se mit en marche vers le château, prenant garde au sol traître du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dépassant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. Ensanglanté. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, éclairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraîche de Septembre. Le silence de la nuit était agréable. Reposant. Même le vent se faisait discret. Seul le léger bruit étouffé des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatigué de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. Saleté de volatiles nocturnes. L’élève reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grâce à son don, Atreus ne tarda pas à arriver sans encombre devant l’escalier qui menait à sa salle commune. Donnant sans hésitation la réponse à la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflé dans une veste grise. Le feu crépitait avec tant ardeur qu’il s’en étonna premièrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprès du foyer. Elles s’étaient retournaient à son entrée et l’observaient à présent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’âtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De même année que lui, Atreus s’était lié d’amitié avec cette jeune femme dès le début de sa scolarité. Malgré leurs caractères diffèrent remarquez, Atreus est différent de la majorité des Serdys, ils s’apprécient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en Sixième Année. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face à la cheminée mais proche des deux filles et se mit en devoir de réchauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tête et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois étudiants. Une nuit. Voilà le tableau. Dernière édition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, édité 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’être prise sur le fait, d’être découverte… Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bêtement. Elle détestait ça, mais ne pouvait s’en empêcher. Ah, si vous saviez… Si vous saviez comme Junie était importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux étaient très semblables. La jeune Brown se dégagea la gorge, touchant délicatement ses yeux ; mais ça ne servait à rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versé quelques larmes… C’était ça, leur amitié. Connaître l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans même lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitié, celle qu’on voit dans les contes de fées, celle dont on rêve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer… Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvé. Ca ne collait pas trop dans son caractère de s’attacher à quelqu’un, mais dans le cas là , elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontré Junie quelques années auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus… Dans un toussotement léger, la Serdaigle écouta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum…Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; écrire. Oh…Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensée pour la boule de parchemin qui avait voltigé à l’autre bout de la salle commune. Puis elle émetta un bref soupir, le regard gêné. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait écrit, qu’aurait-elle à répondre à part je sais plus » ? Rien, strictement rien… Mais cette idée ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupée à regarder l’élève qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces élèves de Troisième année qui cherchait absolument à se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas étonnant. Mais elle ne tarda pas à comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisième année, mais plutôt de Atreus Calgar, le Préfet. Bon, Alice ne le connaissait pas énormément, mais d’après Natalia, il en valait la peine… La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole… A priori, Junie et lui était frigorifié ; à les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils étaient trois. Ca va, ça va… » mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancée …et toi ? »Pas très crédible, sûrement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rêves… Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la réalité en face. Elle fut écoeurée rien qu’à la pensée d’être appréciée ». Non, c’était impossible… Son regard se posa étroitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mélodie que produisait le crépitement du feu… Puis Junie. Elle était toujours là , toujours avec cet air rêveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tôt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphère. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensée revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui était impossible de dire la vérité, sa vérité… Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde où il n’y a que nous, où tu as des ailes et où les seuls sentiments qui y règnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé… Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et désolé, j'ai fait un truc pourri -___- Dernière année. Nouvelle année. C’était carrément une partie de son adolescence qui allait bientôt se terminer. De toute manière, depuis maintenant presque un an, il était majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublé. Il avait simplement perdu une année pour cause qu’il était né en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas écrire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian était dans son dortoir. Sa baguette émettait une petite source de lumière, baguette qui était posée contre la petite table au côté du lit. Elle était suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas réveiller le reste des septièmes années. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’années qu’ils se connaissaient, Ian commençait à très bien le connaître. Ils étaient quand même assez proches. Le préfet était probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il était venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attiré son attention. Durant l’après-midi, il était passé faire un tour à la bibliothèque, comme à son habitude, mais il était tombé sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture était rouge foncé, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible à déchirer, et Ian ne l’avait pas lâché depuis. Même le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquième page et encore il était même pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spécial qu’il devait absolument découvrir. Il était tellement absorbé qu’il n’avait même pas vu un autre étudiant se levé et venir à côté de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans même lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncé sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand même. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumière de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre côté. Le jeune homme haussa les épaules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas été défais. Il était simplement assis, dos contre son oreiller, qui était contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombée de la nuit, il avait enfilé une veste bleu foncé et avait mis le capuchon sur sa tête. Allez savoir pourquoi. Tout portait à croire qu’il ne s’était pas encore changé pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il éteignit de façon informulée et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit à son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrêta dès qu’il eut enlevé le pied de la dernière il eut une impression de déjà vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la première fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la même main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux côtés d’Atreus. Bonsoir à tous. »Toujours le capuchon sur sa tête, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lèvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'était pas tellement apprécié d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrée Alice avait versée quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'était la pudeur, et elle même detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle même. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais après quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'était trompée et que le bruit ne provenait pas de là . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivée dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En même temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrêter pas même Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapproché des deux amies, a son expression cela ne l'étonnait guère de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en même temps au bout de sept ans, il devait s'y être habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va… et toi ? »Natalia ne répondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le préfet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se réchauffer grâce au feu qu'elle avait allumée quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'était comme un jeu pour les deux amies, et en même temps une façon de s'entrainer pour les sortilèges. Elles étaient ce que l'on pouvait qualifer de réeles sorcières, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, même lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crépitement des flammes. Je pète la forme. »L'arrogance de Natalia était quelque chose de phénoménal, les répliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y échapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a répliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors très vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de défi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrée. Silence. Tournant la tête, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une légère grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'était que James. C'était quelqu'un avec qui elle s'était rapprochée dès le début de sa scolarité, et avec qui elle était a présent étroitement liées. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, où alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en même Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, même avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir à tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est déchainée. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en même temps, cela fait bientôt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractère arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va… et toi ? »Atreus - On fait avec… » Atreus fit un léger sourire à Alice tout en appréciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se réchauffer tiens. Après un instant de réflexion avec sa conscience il rectifia sa pensée. Non. Le meilleur moyen était un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immédiat, c’était l’idéal pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm… Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à présent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la première fois. On va dire qu’Atreus était accoutumé de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de déconner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant à lui, il était sûrement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empêchait pas Atreus de l’adorer comme un frère. Tout comme il adorait Junie et son caractère. Et Alice avec sa gentillesse et sa mélancolie. Junie - Je pète la forme. » Atreus eut un léger sursaut et observa Junie. Aïe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. Après sept ans passé en sa compagnie, j’la connaît comme ma sœur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait déplaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas être conviées aux virées nocturnes. Non. Sincèrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. Voilà qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser à ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu à essuyer les réprimandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose même plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent où se démarquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les présenta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de défi, Atreus reprit la parole, un peu sèchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois étudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complètement pour faire face à l’escalier des dortoirs, prêt à remballer aussi sec tout élève qui se serait pointé. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un éternel bouquin à la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir à tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empêcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian à l’évocation de son autre prénom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand même manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux côté de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empêcher de repasser une couche après la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lèvres retroussées en un sourire complètement stupide mais énervant, Atreus observa la réaction de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne réalise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrètement à Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-là . Toujours à râler, se plaindre, gémir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui répondre, d’une voix exaspérée et légèrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… » Le jeune préfet lui lança un regard éloquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tête vers le plafond. Putain. Il se sentait quand même bien là . En osmose avec lui-même, entourait de ses amis, sous une agréable chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les côtes. Il baissa les yeux et lança négligemment sa lame sur la table posé à quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche à bavarder tout les quatre ? Possible… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - Désolée du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite à gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation…celle d’être de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle était comme paralysée. A force, elle ne regardait même plus autour d’elle, sachant par cœur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le même scénario. Elle restait là , figée, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathétique… Très vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent étaient virée nocturne…sans moi… ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était différent. Junie prenait ça comme un défi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour…respirer. Oui, la jeune Alice était très loin d’être la fille que l’on croit, oui, très loin. Ses ongles ornés de vernis rouge laqué se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle était incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris étincelant formant une barrière entre son esprit et…le reste. S’en était trop, et même l’arrivée de Ian ne changea rien à la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis à parler, d’après les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James…il détestait ça. Ses mains tremblaient peu à peu, et dans sa mystérieuse quête de solitude, elle avait trouvé les répondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre côté de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passé n’importe où, elle se faufila derrière un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes après, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le défroissa, espérant qu’ils ne l’avaient pas remarqué…de toute façon c’était sûrement le cas. C’est vrai, elle était très discrète, même si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout à coup aux mots qu’elle avait employés dans son parchemin, elle se rapprocha du canapé où était Junie, s’asseyant à côté d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant délicatement dans l’encre, puis elle se remit à écrire des mots comme la fin », les autres », différents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui où était tombé Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible…Stop. Elle continua à écrire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement… Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr »Miracle, elle avait su décroché une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa même plus relever la tête, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait écrit n’avait aucun sens… Des phrases incompréhensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser à du sang. Le crépitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir à ses côtés, elle se sentait en sécurité, prête à braver milles et une étapes, milles et un dangers… Mais finit, son silence étant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapé moelleux. Son regard, en priorité, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout à la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gâcher… Boom-Boom. Son cœur battait la chamade, comme d’habitude. Alice était trop nerveuse, trop mélancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de Pré-au-Lard… Levant les yeux au ciel pour empêcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas déranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier… Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle était bête, moche, sans cœur et…passons les détails. Xavier était un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus…Ils étaient courageux. Je compatis »Elle avait lancé cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir réellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre…c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayé de ne pas y faire attention. Mais quand ils étaient au moins deux, c’était un peu moins évident. Ça faisait des années, et des années, plus précisément sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’être rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient même ça drôle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment même. Sans rire. Même Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-être un peu forcé… Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, était Alice, et le jeune homme lui en était très reconnaissant. L’anglais serra légèrement les dents sans que ça paraisse, une légère lueur d’agacement passa dans son regard foncé et se contenta d’écouter la réponse du jeune irlandais, à propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était éclipsé le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lèvres du septième année. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer à les agacer. Xavier a lui tout seul devait être le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrément pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un à son service. Et surtout, il ne fallait pas déranger MONSIEUR durant ses précieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantée de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tenté de l’aider, mais ça l’avait été sans succès. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancée. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses épaules. Il se mit à faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils étaient tous réunis autour du feu, chacun installé sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un côté. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncé vers la sixième année. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les épaules. Cette année, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait à cœur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu à faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlé durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas été d’un minimum de contrôle, Ian lui aurait facilement parlé à deux pouces du visage. Ce type allait décidément trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvé la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, écoutant le silence. Il se pencha légèrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au côté d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrêta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment même, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs écraser dans leurs coussins… Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle était dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits où il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un côté, c’était peut-être mieux ainsi. Qui allait être le prochain à briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'océan, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'était ce gût de l'adrénaline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne décrocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglanté sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la réponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrée a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina très vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle était dans ses pensées, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’même coup que l’année dernière, j’vais pas pouvoir me retenir… »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'était tellement puérile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne réfléchissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusé de couper ses propres ingrédients parce que Monsieur ne voulait pas s’tâcher les mains… » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A présent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait être aussi chiant ? Elle ne comptait même plus le nombre de fois où, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la même façon, celle ci soupirait lui explicait que même si c'était son seul choix, elle préférait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses états ce jour là . Elle avait été tellement en colère qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle était montée directement dans le dortoir et lui avait collée sa main sur sa joue. C'était la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portée la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimètres des flammes, elle retourna sa tête vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspéré sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colère, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo déjanté et Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la légère tension de Junie lorsqu’il lui avait montré ses bras mutilés. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur à Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrêter. Et voilà comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tête. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction à la scarification. Mais en voyant ses mais à ses côtés, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cœur qui apparut. Il baissa la tête doucement et son regard mélancolique se perdit dans l’océan des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virée nocturne, dis le moi…enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sûr » L’Irlandais sourit doucement avant même de tourner la tête vers elle. Il lui adressa un regard chargé de tendresse, d’affection avant de lui répondre. Atreus - Pas d’problème Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il détourna le regard vers Junie, tout en gardant son léger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais être seul ce soir pour… Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprécier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure à la lueur du feu. Les plaies brillantes étaient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complètement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sûr ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lâcha sans préambule. Atreus - J’vais me calmer de ce côté-là … Pour vous. » Atreus était conscient qu’il aurait du prendre cette décision depuis des années. La volonté. C’était ça qu’il l’avait empêché. La volonté d’arrêter ne lui était jamais venu. Jamais. Même pas pour eux. Il secoua la tête doucement. Allez. On oublie ça. La soirée était belle, agréable. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problèmes merdiques, sans intérêts. La discussion était en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian évoquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, même sa mélancolie passagère disparu. Comment qu’il le détestait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait à toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cogné ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà … A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. Même Alice y avait eu droit. Ce jour-là , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal à ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serré les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie proférait sa colère, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspéré de la jeune femme fit naître un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses réactions crû. Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractère étaient légèrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la dernière à dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empêcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jeté Ian sur la table, prêt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin étrange. Avec un air intéressé, il montra de la tête le livre à James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-être pas le mieux à demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvé. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement… Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accélérer quand mêmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise à sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirée, et elle sentait que ça n’allait pas être le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immédiatement. Puis Atreus prit une bonne résolution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait là pour l’épauler…tous serait là pour l’aider. Et puis ils se remirent à parler de Xavier… Alice étant la plus petite des Quatre, il avait facile à lui pourrir l’existence. Un jour, il avait même réussit à la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vérités, forçant un peu trop au goût d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune Sixième Année ne s’était pas laissée faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle était habitué. Il avait sûrement raison elle était bonne à rien, mais la seule chose qui était sûre, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui était toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown écouta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise à rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grâce à son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie était toujours là ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’être réciproque… Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comérages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sûrement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des très drôle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grâce au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial… Il était tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris étaient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait à Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tôt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virée nocturne. Elle s’imaginait déjà y aller avec eux depuis la rentrée, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais là , c’était carrément le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gâcher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes où le cœur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrêtaient, puis elle recommençaient…c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel était la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard à présent dirigé vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immédiatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture était étrange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotché sur votre canapé, oui, c’était sûr ce livre attiré l’œil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passé plus souvent de temps à la Bibliothèque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais à part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais à chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle était forcée. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A présent, elle se voyait très mal dormir comme lui, surtout maintenant… James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ Désolé du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chérie par là , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui répète, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncé, un léger sourire sur les lèvres, suite au comportement de cette dernière. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent à des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des conséquences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchés Xavier. Il était une sorte de défouloir au final… Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis à rire, et Ian observa la sixième année lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’année !" Ce type est tellement bête qu’il ne voit même pas que personne ne l’aime, même ses propres amis ne peuvent pas le voir… Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me défendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompé avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié… C’est la preuve que, quand même, on n’est pas les seuls à ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles…Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de Méfaits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier était le portrait craché de Malefoy, mais à Serdaigle. Prenez ce comportement et transposé le sur Xavier et ça reviendra au même. Retournons au RP à présent. Un nouveau sourire apparu sur les lèvres du septième année, avant d’échanger, à nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spécialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutôt écouter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes près de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avérer intéressant, il écoutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel était sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien à sa vie. Mais savoir que Jesse défendait également Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septième année. Pour ce qui était de Peter… Sans commentaire. James tourna, à son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, était toujours bien agréable. Sortant un peu de l’habituel étouffant de tous les élèves en plein jour. La nuit était une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum… Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il était étrange, et c’était bien ça qui obsédait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas à trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop… C’est assez complexe à vrai dire… » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drôle de phénomène se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian éloignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-même. Sur le côté, les pages avaient été tâchés légèrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / éloigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait même. Ok… Ça, c’est pas normal… »Petite expérience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mètres plus loin. La lame tourna sur elle-même et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa à la vitesse de la lumière juste à côté, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsoriséSujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageInvitéInvitéSujet There's an ocean between us , Sookie . Lun 31 Jan - 2331 SOOKIE & HANNAH 2oh. Hannah, avachie dans son canapé, regardait la télé, paisiblement, s'ennuyant même. Elle regardait sa série favorite, Scrubs, elle connaissait chacun des épisodes par cœur et récitait même quelques répliques. Cette série avait le don de la faire rire, car elle lui rappelait les souvenirs à Vancouver avec Allan, son cousin. Ils passaient des nuits entière à regarder les épisodes les un après les autres, et rigolaient ensembles, un morceau de pizza sur la table basse et bien souvent une bière pour Allan. Mais ce temps était résolu, elle était bel et bien seul, devant sa télé, à regarder pour la énième fois le baisé entre Elliot et JD. Mais cette fois, aucun rire ne s'échappait de sa gorge, aucun sourire illuminait son visage, il y avait simplement une vingtaine de larmes, au bord de ses yeux prêtes à couler. Ses yeux noisettes brillaient dans l'obscurité du petit appartement, et seul la voix des acteurs brisait le silence de la journée qui se mourrait. Hannah se sentait seule, bien trop seule pour être heureuse, pourtant ici c'était le paradis. Enfin, un paradis sans ses repères. Et sans Allan. Dans un survêtement dont le port devrait être interdit pour toutes les mannequins du monde tant il était immonde, la jeune femme empoigna son cellulaire qui traînait près d'elle. Sans réfléchir, elle composa le numéro de son cousin. Quelques tonalités se firent entendre, Hannah mit le haut parleur, et on déccrocha. "_ Allo ?", Hannah ne répondit pas, éclatant en sanglot. Sa voix était si réconfortante, elle aurait voulu qu'il soit là , tout près d'elle, pour la consoler, elle voulait se sentir en sécurité, dans ses bras, mais il était à l'autre bout de la terre, loin d'elle. " _Hannah ? Est ce que tout va bien ? ", sa voix était devenue un peu tendue, inquiète. " _ Hannah, je t'entends pleurer, tes sanglots te trahisse, et s'il te plait parle moi .. " La jeune femme, d'un revers de manche, essuya les quelques larmes qui avaient couler le long de ses joues. " _ Allan .. je , j'arrive plus , j'en ai ma claque de ce pays , je veux revenir .. j'arrive pas sans toi .. même les répliques de Scrubs ne me font plus rire .. " Rien que de savoir que son cousin était à l'autre bout du fil lui suffisait à sécher ses larmes et l'écouter. Elle savait qu'il allait trouver les mots, comme à peu près tous les soirs. " _ Ma belle Hannah, je veux pas voir une Cartwhite abattue, tu entends ça ? Alors, tu va enlever ce probable sur-vête que tu porte et qui te fais un gros derrière, et tu va enfiler une belle robe et tu va sortir ce soir. Pas dans un endroit craignos hein ! Dans un bar chic tiens ! Et tu va penser à ta nouvelle vie , bon sang Hannah ! Je t'ai vu sur les affiches d'Armani ! T'es incroyable et je laisserais pas un petit coup de blues te faire revenir et abandonner ce pour quoi tu es faite! De toute façon, si tu reviens, je t'ouvre pas la porte !" Hannah mêla larme et rire. Il avait le don de la faire se sentir mieux. Le rire d'Allan raisonna à l'autre bout du monde et ils continuèrent de parler durant quelques dizaines de minutes et en raccrochant, Hannah se sentait un peu mieux. Mais surtout, elle était prête à sortir, voir du monde, et elle se devait d'être souriante. Elle ne devait sous aucun prétexte montrer aux autres ses faiblesses. Elle éteignit la télévision et fila dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, puis se prépara de la tête aux pieds. Elle enfila une robe verte anis qui se mariait plutôt bien avec ses cheveux blond. Un peu de rouge à lèvres, du maquillage délicatement apposé et une paire d'escarpin noir. Quelques bijoux pour habiller le tout et voilà Hannah prête pour sortir. Elle aurait très bien pu promettre à son cousin qu'elle sortirait puis finalement rester chez elle mais si il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'était bien de trahir la confiance de ses proches. Il avait réussit à lui redonner de la motivation pour quelques temps et elle en profitait. Enfilant un manteau en lainage noir pour affronter le froid de la nuit, elle noua ensuite autours de son cou un foulard en soie qui la protégera des courants d'air baladeurs. Hannah, après s'être parfumée un brin, empoigna son sac et quitta son appartement. Elle allait prendre un taxi et lui exiger de l'emmener dans un endroit huppé. En moins d'un quart d'heure, la jeune femme se retrouva à l'entrée d'un bar qui semblait assez remplie pour être amusant mais pas trop craignos. Parfait. La jeune femme paya le taxi puis avant d'entrer dans le bar, elle souffla un bon coup, elle allait être souriante, froide avec les autres pour se protéger, elle allait se trouver une proie à croquer ce soir et elle s'amuserait bien. Plus facile à dire qu'à faire. Voilà une demi heure que la jeune femme était assise au bar, elle avait déjà siroté trois vodka-pêche et si ça continuait comme ça, elle n'allait pas faire long feu. Sa déprime avait repris le dessus et à présent, elle ne pensait plus qu'à boire et se faire le mec qui était au milieu de la piste, avec un fessier de rêve et un déhanché à faire pâlir Elvis Presley. Hannah qui n'était pas assez ivre pour l'aborder resta au comptoir, à critiquer les filles que son regard croisait. Il s'arrêta d'ailleurs sur Sookie. Ahh ! Sookie ! La grande amie d'Hannah ! Une cruche oui ! Elle ne la supportait pas et elle allait peut être trouver sa distraction avec elle. Discrètement, elle effaça d'un geste du doigt le Rimmel qui avait coulé sous ses yeux et elle se repoudra les joues afin d'être plus pimpante. Malgré sa tristesse, un sourire de peste s'afficha sur ses lèvres. Son regard s'arma, hautain et glacial et elle observa Sookie jusqu'à ce que celle ci daigne poser les yeux sur elle. InvitéInvitéSujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 Fév - 1543 Pourquoi était-elle dans un bar alors qu’elle n’était même pas sensée être ici ? Ah ouais ! Elle s’en souvenait maintenant… Il avait fallut que la plupart des stripteaseuses de la boite où elle travaillait veuillent fêter l’arriver d’une toute nouvelle recrue d’une douceur à faire pâlir toutes les petites saintes ni touche du coin… Cette fille était du genre à être parfaitement calme, un sourire enfantin, un visage doux et un grand regard bleu océan dans lequel on pouvait se perdre en quelques secondes mais derrière toutes cet attirail enfantin se cachait une vraie petite peste chaude comme la braise… Bah quoi ?! C’était l’entière vérité et savoir qu’elle allait faire partie du groupe n’était pas quelque chose qui enchantait vraiment une jeune femme aussi calme que Sookie. C’est vrai ! Après tout, l’entier personne de Bella était bien monté sur toute la douceur de la jeune femme, sa pudeur et sa douceur… Si une autre venait à prendre sa marque de fabrique et y apportait sa touche personnelle alors elle n’aurait bientôt plus de clients du tout ! Quoi que… Il fallait avouer qu’on pouvait bien deviner quelques vergetures sur ses cuisses plutôt rondouillettes alors si un homme préférait ce genre de femme, qu’il la prenne mais Sookie savait une chose Les hommes la choisissait plus sur son physique irréprochable, ce qu’elle pouvait dégager dans son attitude que n’importe quoi d’autre chez elle… Et oui, Sookie était ce genre de femme qui passait trois heures à se préparer chaque soir parce que c’était bien là son secret pour avoir le plus d’argent possible et de pouvoir se permettre de prendre certains soirs pour pouvoir rester au calme chez elle Elle ne comptait que sur une seule chose Son physique de rêve, sa peau lisse et douce, son visage délicieux, son ventre plat et la beauté des dessous qu’elle pouvait porter… Tout n’était qu’apparence dans son monde et c’était sûrement pour ça qu’elle portait à chaque striptease une perruque rose et des lentilles bleues… Outre le fait que c’était pour cacher son identité aux hommes qui venaient profiter du spectacle, c’était aussi pour attirer l’attention avec le rose et capter les regards avec le bleu… Futée la belle hein ! Elle savait d’ailleurs ce qui plaisait aux hommes parce que dés qu’elle voyait la satisfaction dans les regards elle retenait ce qui a plu et l’utilisait à bon escient et c’est ainsi qu’elle gagnait autant d’argent, en vendant son corps de façon tout à fait dégradante mais plus que lucrative ! Intelligente, elle aurait finalement pu devenir avocate mais qu’importe, elle avait finit stripteaseuse et elle ne pouvait plus revenir en arrière aujourd’hui parce qu’elle ne dépendait que de ces soirées pour vivre et si elle voulait reprendre ses études, il était un peu trop tard sachant que les études de droit étaient plutôt longues… Non ? Et bien oui très cher ! Et ça, elle en avait entièrement conscience et c’est sûrement pour cette raison que la jolie demoiselle avait décidé que si elle prenait le boulot de stripteaseuse, s’en était fini de tous ces plans de carrière qu’elle avait pu faire dans sa jeunesse… Et elle l’avait fait ! Aujourd’hui ses parents croyaient qu’elle était une serveuse tout ce qu’il y a de plus respectable alors qu’en réalité elle était une stripteaseuse plutôt connue dans le monde de la nuit et plutôt quottée qui était payée à l’heure et ça, c’était du luxe ! Finalement, elle s’en sortait plutôt bien, elle ne connaissait que très peu de monde à Sidney et vivait surtout la nuit, une vraie noctambule qui se décide parfois à aller faire les courses après le boulot, couverture d’une couche de maquillage impressionnante qui pouvait parfois surprendre la caissière qui restait là à la fixer comme si elle était une folle sortie de l’asile alors qu’en réalité elle sortait seulement du boulot…Pourquoi avait-il fallut qu’elle accepte cette foutue invitation pour l’arrivée d’une nouvelle peste dans la bande ?! Elles avaient toujours été un groupe de cinq jeunes femmes, les meilleures dans la boite où elle travaillait, elles ne sortaient jamais ensembles mais dés qu’elles se croisaient, elles s’adressaient un petit clin d’œil significatif. Elles ne se côtoyaient que dans la boite alors pourquoi faire différemment pour une idiote ?! Le regard plongé dans son verre de Whisky pur, la jeune femme se demandait ce que faisait quelqu’un d’autre… S’il bossait ce soir, si elle pouvait peut-être l’appeler histoire qu’ils se voient au lieu qu’elle se fasse chier ici avec une bande de tarées idiotes qui s’étaient mises à danser dans un coin du bar pendant qu’elle, elle restait assise au bar à se regarder dans le reflet marron du liquide dans son verre. VDM… Elle en avait marre de cette vie, elle en avait marre de porter des dessous un peu trop petits pour elle histoire d’allumer toute une bande de connards qui ne voulaient qu’elle, son corps et non la connaître… Caleb… Heureusement qu’il n’avait pas voulu ça d’elle sinon il serait mal tombé et il serait sûrement retourné bien vite dans son coin tellement elle détestait ce genre de choses… Baissant vite fait sa robe sur ses cuisses, la jeune femme soupira, elles l’avaient naturellement obligée à sortir un Jeudi soir, alors que ce soir-là elle restait toujours chez elle dans des vêtements trop grands pour elle. Là , elle portait une robe collante, noire qui attirait les regards, chose qu’elle détestait par-dessus tout, elle avait du se maquiller pour une nulle… Génial ! Elle aurait peut-être pu dire non après tout, elle aurait seulement eut à dire qu’elle ne pouvait pas, qu’elle sortait avec quelqu’un… Pour qu’on l’emmerde encore plus et lui demande qui était ce fameux rendez-vous et plus détails pour ensuite le lui piquer… Non, décidément, elle n’allait sûrement pas parler de Caleb à personne, elle allait le garder seulement pour elle, comme un souvenir délicieux qu’on laisse revenir en mémoire seulement lorsqu’on veut être heureux. D’ailleurs, celui-ci lui revint bien vite en mémoire et elle finit par sourire bêtement à son verre avant de relever les yeux vers le serveur qui l’observait depuis quelques minutes déjà … Je crois vous connaître… ». Oups… Non, non, non ! Elle ne pouvait pas être reconnue aussi facilement ! Elle eut un petit sourire gêné et fronça les sourcils, faisant déjà défiler la centaine de visage d’hommes à qui elle avait bien pu faire un striptease, cherchant si cet homme l’avait reconnue ou si il l’avait seulement vue un jour auparavant en la bousculant ou quelque chose comme ça… Pourtant, il ne figurait pas du tout sur sa liste noire alors qui était-il… La jeune femme finit par hausser les épaules avec un sourire entendu avant de dire d’une voix presque dédaigneuse sans réellement le vouloir Oh vous savez, j’ai un visage plutôt commun… ». Baissant à nouveau son regard sur son verre, elle soupira vivement pendant que l’homme en question s’éclipsait au profit de ses clients. Elle avait eut chaud aux fesses parce que s’il se mettait à hurler dans tout le bar qu’elle était une stripteaseuse, elle se sentirait bien conne comme fille ! Sa vie était en jeu, personne ne devait savoir qui elle était la nuit, au boulot. Se retournant, la jeune femme se permit un regard vers la bande de fille se déhanchait à présent comme des chaudasses devant une bande d’hommes assoiffés… Apparemment, elle n’en avait pas assez de leur boulot, il fallait qu’elles continuent en dehors, et en plus, sans être payées ! Finalement, elle était très bien au bar, au calme, pas du tout embêtée par une bande de folles, d’ailleurs, c’était comme si elle n’existait plus du tout et ça c’était très bien pour elle ! Manquerait plus qu’elles lui disent de venir se trémousser et là elle se mettait à hurler en s’accrochant au bar pour ne jamais y aller… Tiens… Alors qu’elle se retournait vers le bar, la jeune femme aperçu une jolie blonde qu’elle reconnu immédiatement… Hannah… Mais que faisait-elle seule au monde dans un bar ?! En tout cas, elle n’allait pas lui parler étant donné qu’elle était toujours là pour la descendre et que, franchement, ce soir elle n’avait pas trop envie de se faire emmerder par la reine des petites pestes… Elle baissa donc rapidement son regard vers son verre en espérant pour qu’elle ne l’ait pas vue et pour qu’elle ne décide pas de se pointer par ici… Sinon, ça allait finir en carnage… InvitéInvitéSujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mar 15 Fév - 2120 Ce bar aux allures chic avait finalement un fond qui agaçait Hannah. Ce genre de pseudo bar moderne où la fausse luxueuse jeunesse passaient leurs soirées. Hannah n'était pas issue d'une famille très riche, elle venait d'une famille plutôt aisée certes mais qui exerçait dans le domaine artistique. Hannah n'avait pas été habitué au soirée mondaine, au champagne à gogo et aux robes de créateurs. Elle avait grandit entre deux séances photos de son père et les pièces de théâtre de sa mère. Pourtant, aujourd'hui, Hannah agissait comme une garce, elle se rebellait contre ce monde qui lui avait enlevé sa sœur. Elle voulait faire souffrir les autres autant qu'elle avait souffert. Elle se protégeait aussi, devenant insupportable, faisant rager les autres femmes en allumant leurs conjoints, et se faisant passé pour la salope de service. Cette carapace de haine permettait à Hannah de tenir le coup, de ne pas s'effondrer. Elle s'interdisait de craquer, elle devait être forte. C'était ce qu'Allan lui avait dit, c'était le seul sur cette terre qui connaissait Hannah ainsi, faible, détruite et rongée. Lui seul avait le don de la motiver, lui seul pouvait la consoler. Il était le seul à connaître la Hannah détruite qui s'endormait en sanglot le soir et qui souffrait chaque seconde. Toute la superficialité qui se dégageait d'Hannah était fausse, elle n'était pas une fille comme ça, loin de là . Ce soir, elle se fichait bien de la beauté de la robe Armani qu'elle avait sur les épaules , tout autant que ses Louboutins qui lui faisait mal aux pieds. Elle était ici avant tout pour aller mieux. Elle devait optimiser. Elle respira un bon coup puis le sourire qu'elle avait perdu s'afficha sur son visage rempli de malice et de méchanceté. Elle venait de croiser le regard de Sookie. La jeune brune était au bar, un peu plus loin. Hannah l'avait bien évidemment vu et elle s'apprêtait à lui faire une petite crasse, rien de bien méchant, juste amusant. Avant d'agir, Hannah commanda un nouveau verre de vodka songeant à sa future Hannah et Sokkie ce n'était pas l'amour fou. En fait, c'était Hannah qui l'avait pris dans sa ligne de mir. Elle était un peu son souffre douleur. Elle passait ses nerfs sur elle, sans scrupules. Sookie et Hannah ne se connaissait même pas et en y réfléchissant bien, Hannah ne connaissait rien d'elle hormis son prénom qui avait, soit dit en passant, le don de l'agacer. Elle ne se souvenait pas où et comment elles s'étaient rencontrées mais elle s'en fichait pas mal. Son seul but et sa seule envie c'était de voir l'angoisse et la panique dans les yeux noisettes de la jeune brune. S'enfilant avec rapidité sa vodka, Hannah commanda un coktail à base de grenadine et de gin. Elle se leva, empoignant sans une main son sac et dans l'autre le verre. Prenant la direction de Sookie, elle arma son regard d'innocence puis arrivé à sa hauteur, elle fit mine de trébucher puis versa "par inadvertance" le liquide carmin sur la robe de la jeune femme. Lançant un regard faussement désolé, Hannah porta sa main à sa bouche et lâcha un "-Opps !" avant de retrouver un air plus hautain, satisfaite de son petit coup, elle lança un regard victorieux et rempli de haine, un sourire diabolique aux lèvres. Elle attendait sa réaction, entendant déjà les commentaires des personnes aux alentours qui avaient vu la scène. InvitéInvitéSujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 Mar - 1553 La honte… La honte cuisante… Celle qui rend vos joues rouges tomates et qui vous porte les larmes aux yeux jusqu’à ce qu’enfin, celles-ci se mettent à couler sans que vous ne puissiez une seule seconde les retenir parce que, de toute façon, il n’y a rien d’autre à faire à part ça Pleurer. Sookie ne l’avait jamais vraiment ressentie, la honte. Après tout, lorsqu’on est miss catastrophe, on ne peut décemment pas avoir honte à chaque petite chose qui vient nous gêner tout simplement parce qu’on fait trop d’erreurs gênantes et qu’à force on nous prendrait pour un arrosoir à larmes. Avouons quand même que pour sa défense, la plupart du temps, ce n’était pas vraiment Sookie qui commettait une bourde mais plutôt les gens autour qui avaient deux pieds gauches ou bien deux mains gauches… Finalement, les seules réelles bourdes de sa part se passaient chez elle, lorsqu’elle était seule et que personne ne pouvait vraiment la voir, à part si elle avait des caméras ou que ses voisins pervers la regardaient de chez eux avec des jumelles… Mais franchement elle n’espérait pas vraiment être épiée nuit et jour par ses voisins pervers ! Enfin bref, la dernière bourde en date avait d’ailleurs été vue par un jeune homme qui avait été invité chez elle à la suite d’une soirée merveilleuse, elle avait lâché un verre sans vraiment le faire exprès, le brisant en mille morceaux et devant se mettre à quatre pattes histoire de le ramasser, le comble avait été lorsqu’elle s’était coupée et avait du lui avouer qu’elle était fortement sensible au sang et qu’elle n’allait pas tenir debout, là c’était vraiment la honte, pour une toute petite blessure de rien du tout, elle avait déjà la tête qui tournait et devait montrer ses faiblesses à un parfait inconnu. Mais la réelle raison pour laquelle Sookie n’avait pas vraiment honte en publique, c’est parce qu’elle était devenue anormalement attentive à chaque détails du monde qui l’entourait dés qu’elle sortait de son appartement, ainsi, elle pouvait se pousser dés qu’une femme déçue enverrait son verre dans la tête de son compagnon sans faire une seconde attention à la demoiselle qui se trouve juste derrière et qui n’a même pas demandé à être arrosée. Sookie était devenue un œil de lynx qui regardait partout, tout le temps, même au travail, elle avait développé un sixième sens histoire de savoir si un client faisait tomber son verre par inadvertance sur la scène et qu’elle pouvait risque de glisser sur l’alcool. Ainsi, la jeune demoiselle était l’une des personnes les plus précautionneuses de la ville, ne s’aventurant pas n’importe où, n’importe quand avec n’importe qui sans savoir si elle pourrait faire une bêtise qui lui mettrait la honte. Malheureusement pour elle, la jeune femme n’était pas encore protégée contre les sales garces qui venaient délibérément essayer de lui mettre la honte seulement pour lui en faire voir plein la tronche. Et ouais, depuis toujours, Sookie était un aimant à boulets du type high level » qui décidaient de venir lui pourrir sa vie seulement parce que son corps de rêve et son joli visage ne leur plaisait pas, comme si elle avait demandé autant d’attention. D’ailleurs, Sookie n’avait jamais demandé autant d’attention, de nature plutôt effacée, Sookie était ce genre de fille débrouillarde qui ne demande à personne de l’aide, qui fait tout toute seule, qui n’en tire aucun mérite et qui évite tout le temps de faire parler d’elle, surtout au niveau du travail parce qu’elle savait que dans le monde du striptease, dés qu’on commence à parler une seule fois de vous, on ne vous lâche plus et surtout, on veut absolument avoir qui vous êtes réellement et ça, Sookie n’en voulait surtout pas ! Et pourtant, il fallait que ses prières ne soient pas entendues… Non, parce que si le tout puissant l’avait réellement écoutée lorsqu’elle lui disait qu’elle n’avait vraiment pas besoin d’une petite idiote sur ses épaules, elle n’aurait pas eut le droit à cette magnifique rencontre avec Hannah, la pimbêche de service qui se croit meilleure que toutes les autres sous prétexte qu’elle a plus d’argent, des fringues de créateur et qu’elle est mannequin ! Une sorte de rivalité s’était instaurée sans que Sookie ne le demande, comme si elle était cette petite saint ni touche que Hannah avait toujours cherché afin de lui pourrir littéralement la vie, jusqu’au bout, en y prenant un réel plaisir au passage ! Pourtant la demoiselle ne semblait pas si pimpante qu’elle n’y paraissait, pire encore, Sookie se demandait si elle était réellement ce qu’elle prétendait être dans son apparence histoire de faire voir au monde qu’elle va très bien alors qu’en réalité, elle ne va pas bien du tout. C’est ainsi que lorsque ce soir la jolie brune s’était décidée à suivre ses copines stripteaseuse, elle ne s’était pas vraiment attendue à être bien servie si elle croisait ladite Hannah. Elle avait accepté sans réellement le vouloir, se disant que ça la changerait un peu de son appartement vide, quelque chose qui sort du commun en fait. Après tout, elles avaient bien raison en lui disant qu’elle devrait sortir plus souvent et exhiber son joli minois autre part que dans cette boite de striptease où on ne la reconnaissait même pas au passage. Elle devait penser un peu à vivre, le plus important étant qu’elle avait aujourd’hui vingt-trois ans et qu’il était temps de mettre le passé derrière elle et que vivre avec le présent sans ne plus avoir peur de mal tomber parce qu’après tout, elle avait toujours la possibilité d’appeler Caleb si elle prenait peur de quelque chose, il aurait peut-être le temps de la rassurer avant de revenir à son travail, vu que le travail d’un policier était bien de rassurer parfois des personnes qui ont peur après une agression qui les auraient marqués ! Enfin bon, ce soir elle était de sortie et espérait vivement ne pas voir miss pimbêche une seule fois parce que sinon elle pouvait s’attendre au pire ! Et pourtant, après quelques temps passés seule au bar, accoudée à celui-ci, un verre bien vissé dans sa main comme si le but de cette soirée était plus de boire que de s’amuser avec ses collègues qui se croyaient en boite de nuit et qui dansaient comme des prostituées sur la piste de danse, lui mettant une légère honte d’avoir décidé de les suivre ce soir… Dans sa tête, elle se répétait encore et encore Je ne le connais pas, je ne les connais pas… » et priait pour qu’elles ne se décident pas à venir l’inciter à danser elle aussi pour ne pas que les gens osent porter le regard vers elle, là ce serait une vraie honte cuisante parce qu’en réalité, Sookie savait se déhancher, certes, mais danser, non… Et puis c’est alors qu’elle la vit, assise à l’autre bout du bar, avec un verre dans les mains, la menace était bien présente. MERDE ! Elle espérait vainement ne pas avoir été repérée mais c’était peine perdue, cette Hannah avait des yeux partout et avait le don de la voir n’importe où à n’importe quelle heure de la journée et de lui faire les pires crasses. Ainsi, Sookie resta les yeux baissés, priant pour ne pas avoir à lui adresser la parole, commandant un nouveau verre après avoir vidé le sien. Elle détestait avoir à se cacher de quelqu’un sous prétexte qu’elle ne voulait pas créer de conflit et pourtant c’était ce qu’elle avait toujours fait, elle ne voulait surtout pas d’ennemis, sa politique étant que les ennemis n’étaient faits que pour vous pourrir la vie, ce que faisait très bien Hannah d’ailleurs ! En parlant de la blondinette, celle-ci se ramenait par ici avec un verre dans la main, la jolie brune ne bougea pas mais bientôt Hannah fit semblant de faire tomber l’entièreté du verre dans son décolleté, Sookie sentant le liquide glisser sur sa poitrine. Elle ne pu retenir un petit cri de surprise avant de sentir une nuée de regards portés sur elle, certaines personnes riaient, d’autres se demandaient ce qu’il se passait, un serveur apportait bien gentiment une serviette à la jolie demoiselle qui lui sourit avant de prendre la serviette, le remerciant du regard. Elle n’en croyait pas ses yeux ! Mais pour qui elle se prenait celle-là de venir l’arroser de cette façon ! N’avait-elle pas de classe ?! Sookie se mit alors à rire contre toute attente avant de fixer Hannah et de lui dire d’une voix douce Je me demandais… Pourquoi tu t’acharnes sur moi ? Est-ce que je suis seulement un défi, une façon de te prouver à toi-même que oui, tu peux être une garce ? Ou bien est-ce seulement pour voir jusqu’à quel niveau de la connerie tu peux aller ? Parce que franchement, la moitié des personnes présentes savent que tu en a fait exprès… T’aurais pu avoir le cran de faire mieux… ». Attrapant son verre la jolie brune le lança en plein dans le visage d’Hannah avant de lui tendre bien gentiment la serviette et de lui dire après un petit clin d’œil Comme ça par exemple ! Au moins t’aurais eut l’air d’avoir du caractère… Grandis Hannah… Et cherche ce qui va pas dans ta petite cervelle… » InvitéInvitéSujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mer 16 Mar - 2106 Parfois Hannah essayait de comprendre pourquoi elle était devenue aussi mauvaise. La question n'était pas simple mais pourtant la réponse était évidente. La période la plus sombre de la vie d'Hannah n'était autre que la mort de sa sœur jumelle. Elle devait le reconnaître, elle n'était jamais sortie de cette période, elle y sombrait un peu plus chaque jour malgré l'aide d'Allan. En soit, elle ne s'était jamais remise de l'absence de sa soeur. A la seconde où le cœur de Colleen avait cessé de battre, celui d'Hannah s'était vidé d'amour et d'espoir laissant place à l'incompréhension et la colère. Sa moitié venait de partir, alors qu'elle n'avait que 12 ans. A partir de ce moment, Hannah était passé par plusieurs stade. D'abord le deuil, long et douloureux, il avait duré plusieurs années. A quinze ans, Hannah avait des envies de rejoindre sa sœur, pour ne plus souffrir. Mais on lui avait toujours empêché. Elle s'était alors rendu compte que son deuil n'était pas achevé et qu'elle n'avait plus qu'une seule solution pour survivre, elle devait se cacher derrière une carapace de méchanceté, afin de se protéger. C'est ce qu'elle fit, jusqu'à maintenant encore. Elle était détestable, peste, méchante, garce; tout ce qui était nécessaire afin d'être forte. Elle préférait paraître odieuse plutôt que d'être faible et d'attirer la pitié. Pas question de pleurer devant quelqu'un hormis Allan. Ce n'était pas marrant pour lui de devoir supporter la tristesse et les plaintes incessantes de sa cousine. Mais il était de loin l'homme le plus compréhensif de la terre et surtout le cousin le plus génial de l'univers. Hannah était consciente de la chance qu'elle avait d'avoir Allan même si elle vivait plutôt mal l'éloignement. Il lui avait presque ordonné ce soir de sortir et au vu de l'évolution des évènements, Hannah ne regrettait en rien d'être sortie dans ce bar. Son regard s'était posé sur Sookie. Une jeune femme dont elle ne connaissait que le prénom, à vrai dire. Mais peu importe, elle était une bonne proie qui n'avait pas tellement de moyen de defense. C'est du moins ce que pensait Hannah. Les lionnes attaquaient toujours les gazelles blessées et aux yeux d'Hannah, elle était la lionne et Sookie la gazelle. Une proie facile et amusante. Ni une, ni deux, après s'être re-blushée les pommettes et effacer les débuts de larmes, Hannah avait frappé. Renversant son verre sur la belle robe de Sookie. Son geste était bien évidemment volontaire et tout le monde avait pu le constater. Hannah essaya d'imaginer ce que dirait Allan en la voyant faire. Il ne serait pas fier certes mais il savait pourquoi Hannah se comportait de cette façon, il ne pouvait donc pas lui en vouloir. Bien évidement, elle omettrait de lui raconter cet épisode une fois au téléphone quoi que Hannah était fière de sa petite personne en faisant une telle chose. Une petite voix dans le fond de sa tête la félicitait et elle était contente de voir que finalement elle s'amusait bien. Sookie sembla choquée et son regard si particulier régalait la méchanceté de la belle Cartwhite. Comment allait-elle réagir ? Hannah n'attendait que ça , voir la réaction de la brune et en rire. Rien ni personne ne pouvait l'atteindre, les paroles blessantes, les actes violents ou dégradants.. tout ça lui passait au dessus de la tête et elle trouvait toujours les mots pour rabaisser son interlocuteur. L'unique chose qui ferait qu'Hannah s'effondre n'était autre que le sujet extrêmement sensible.. la mort de sa sœur. Mais personne ici n'était au courant , elle tentait donc d'y penser le moins possible pour ne pas se trahir. Sookie prit alors la parole, envoyant au visage d'Hannah des mots bien trop doux pour atteindre Hannah. Portant le bord du verre vide à ses lèvres, un sourire de peste et hautain dessina sa bouche. L'attaque de Sookie était prévisible et elle n'étonna qu'à moitié la jeune blonde. Elle était certes couverte de cocktail mais elle te flancha pas. Il fallait bien plus pour faire tomber la jeune femme. Ignorant la serviette que Sookie lui tendait, elle passa délicatement sa main sur sa joue afin d'enlever une goute d'alcool parmi les milliers qui se trouvait sur son visage, ses cheveux et son cou. Elle arma son regard de méchanceté et de froideur, elle laissa une seconde de silence s'écouler puis prit la parole, d'un ton calme mais terriblement Tu sais la différence entre toi et moi Sookie, hormis le fait que tu portes des vêtements de la saison dernière, c'est que moi, même avec mes cheveux trempés et mon maquillage dégoulinant, je reste classe. Tout vas très bien pour moi, c'est gentil de t'en inquiété, quant à toi, je m'en fou, mais sache que ce verre que je t'ai lancé à la figure est bien loin d'être le dernier. Je suis pas immature, je ne t'aime pas c'est tout, fais toi une raison. Et je ne te lâcherais pas, imprime bien ça dans ta petite tête de faible fille qui pense être mieux que les autres alors que très sincèrement, tu ne m'arrive pas à la cheville. Contenu sponsoriséSujet Re There's an ocean between us , Sookie . There's an ocean between us , Sookie . Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille
alpha M artiste Mike Brant titre Rien qu'une larme Les paroles de la chanson Rien qu'une larme »Mike Brant Rien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule réponse,Quand je te dis qu’il vaudrait mieux,Ne plus se revoir nous deuxJ’étais certain cette foisQue tu me retiendraitOn se trompe quelques foisUne larme a tout changéRien qu’une larme dans tes yeux,Et soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC’est moi le plus malheureuxPar ma faute trop de foisMon amour tu as pleuréJ’ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aimeJe t’aime et je veux te le direJe veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule réponse,Rien qu’une larme dans tes yeux,Je veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aime
rien qu une larme dans tes yeux paroles